La 4e de couv. indique : "< Il y a deux hommes en moi >, a dit le Général à Alain Peyrefitte. Le militaire en lui peut être cassant, l'homme d'Etat est sans concessions, sauf celles qu'il sait faire en temps utile. Raide comme la Justice, mais souple en pensée. Violemment drôle, écrivain parfait, orateur incomparable parlant au Conseil des ministres avec les mots d'un titi parisien. C'est le premier homme en lui, entre Gavroche et Bonaparte. Le second est sensible, vulnérable quand on ne l'aime pas, cherche toujours l'amour du peuple et de ceux qui l'entourent, souffre comme un damné d'avoir été désavoué en 1969, et finalement, meurt de chagrin - c'est l'interprétation de son épouse."